Organes: Sein - Le promoteur: UNICANCER
UNICANCER MAJ Il y a 6 ans
Essai ouvert aux inclusions
UNICANCER MAJ Il y a 6 ans

Étude ULTIMATE : étude de phase 2 visant à évaluer l’efficacité de la combinaison du durvalumab et de l’hormonothérapie comme traitement néoadjuvant chez des patientes ayant un cancer du sein invasif RO+/Her2- avec des lymphocytes T CD8+ au sein de la tumeur après une phase d’attraction des lymphocytes de 4 à 6 semaines. Le cancer du sein est le type de cancer le plus fréquemment diagnostiqué chez la femme. Environ 75% des patientes ménopausées ayant un cancer du sein sont positives pour le récepteur hormonal, qui est un facteur pronostique du cancer du sein et prédictif de la réponse à l’hormonothérapie. Malgré l’efficacité de l’hormonothérapie, des nombreuses tumeurs positives pour le récepteur hormonal présentent une résistance à cette thérapie. Un tiers des patientes ayant un cancer du sein primaire positive pour le récepteur hormonal et normal pour Her2 présentent un haut risque de récidive après avoir été traités par une chimiothérapie néoadjuvante standard ; par conséquent, il y a une nécessité de trouver des alternatives de traitement plus efficaces. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité de la combinaison du durvalumab et de l’hormonothérapie comme traitement néoadjuvant chez des patientes ayant un cancer du sein invasif RO+/Her2- qui présentent une infiltration de cellules T CD8+ après 4 à 6 semaines de traitement immuno-attractant. Dans la première partie de l’étude, les patientes recevront un traitement d’attraction des lymphocytes T par une injection unique de trémélimumab par voie intraveineuse (IV) en association avec l’exémestane par voie orale (PO) tous les jours pendant 4 à 6 semaines. Dans la deuxième partie de l’étude, les patientes ayant une infiltration de lymphocytes T CD8+ recevront du durvalumab en IV toutes les 4 semaines en association à l’exémestane PO tous les jours pendant 6 mois. Après le traitement, les patients pourront avoir une chirurgie selon les pratiques courantes. Les patientes seront suivies pendant 1 an après la chirurgie.

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UNICANCER MAJ Il y a 4 ans

Étude START : étude de phase 2 randomisée visant à comparer l’efficacité du darolutamide avec celle de la capécitabine chez des patients ayant un cancer du sein triple négatif avec des récepteurs aux androgènes positifs en rechute locorégionale (non opérable) ou métastatique. La plupart des cancers du sein triple négatif sont des tumeurs agressives ou de haut grade qui ont tendance à se développer et à se propager rapidement et ils engendrent normalement un pronostic moins favorable que d’autres types de cancer du sein. Le cancer du sein triple négatif réagit habituellement à la chimiothérapie au début mais il a tendance à réapparaître au cours des 5 premières années qui suivent le traitement. De plus, on ne peut pas administrer aux patients ayant un cancer du sein triple négatif d’hormonothérapie ni de thérapie qui cible les récepteurs des oestrogènes ou de la progestérone car ces patients n’ont pas ces récepteurs. Par conséquent, il est nécessaire de trouver des stratégies de traitement efficaces pour les patients ayant un cancer du sein triple négatif. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du darolutamide avec celle de la capécitabine chez des patients ayant un cancer du sein triple négatif avec des récepteurs aux androgènes positifs, en rechute locorégionale (non opérable) ou métastatique. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du premier groupe recevront du darolutamide 2 fois par jour en continu jusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patients du deuxième groupe recevront de la capécitabine deux fois par jour pendant 2 semaines suivies d’une semaine de repos jusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 24 mois.

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UNICANCER MAJ Il y a 4 ans

SHARE : Essai de phase 3 comparant l’efficacité d’une irradiation accélérée focalisée au lit opératoire à une irradiation mammaire standard ou hypofractionnée chez des patientes ayant un cancer du sein à faible risque de rechute locale. [essai clos aux inclusions] L’objectif de cet essai est de comparer l’efficacité d’une radiothérapie accélérée focalisée au lit opératoire (IPAS) à une irradiation mammaire standard ou hypofractionnée chez des patientes ayant un cancer du sein à risque de rechute locale. L’IPAS vise à réduire le volume et la durée du traitement. Les patientes seront réparties de façon aléatoire en 3 groupes de traitement et débuteront leur radiothérapie un à trois mois après la chirurgie conservatrice. Les patientes du premier groupe recevront une radiothérapie standard cinq jours par semaine pendant cinq semaines, suivie d’une radiothérapie complémentaire au niveau du site de la tumeur. Les patientes du deuxième groupe recevront une radiothérapie hypofractionnée cinq jours par semaine pendant trois semaines. Les patientes du troisième groupe recevront irradiation partielle et accélérée du sein deux fois par jour pendant cinq jours. Au cours de l’essai, les patientes complèteront des questionnaires de qualité de vie et auront une évaluation de leur satisfaction et de l’esthétique du traitement. A l’issue du traitement, les patientes auront un bilan de suivi à trois et six mois, puis tous les ans pendant dix ans.

Essai clos aux inclusions